On ne peu pas dire que la France fasse preuve de stabilité depuis quelques années, à aucun point de vue: changements de politique divers, bavardages et discours à tort et à travers, décisions qui prônent le tout et son contraire... J'ai l'impression de vivre les années 50! Sauf qu'on ne peut appeler personne à la rescousse pour nous pondre une nouvelle Constitution.
Nous perdons donc de nouveau un gouvernement, il faut l'avouer de bric et de broc. Mais ce qui me fiche un méchant coup de blues, c'est que l'avenir de l'école s'assombrit à vue d'oeil. M. Hamon, qui semble ne pas devoir rester à son poste au ministère de l’Éducation nationale -on verra demain, mais ça me parait fort compromis-, continuait la politique de son prédécesseur en particulier envers les directeurs d'école. Il avait pris la peine de recevoir le GDiD et s'était engagé sur un certain nombre de mesures dont la première au moins est "passée". Que fera son éventuel successeur? Faudra-t-il une fois de plus TOUT recommencer?
Si peu de jours avant la pré-rentrée, ça fait désordre.Et ça me fiche le bourdon. Sans cesse sur le billot remet ton ouvrage... Ouais. Marre. La merveilleuse "refondation de l'école" n'a plus du plomb dans l'aile, elle a chuté dans le marais et y coule.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire