Je ne peux pas écrire un article dans lequel se trouve le sigle GDiD sans qu'aussitôt quelques gilets colorés et autres dindons à la couleur indéfinissable tombent sur l'association en question pour réclamer des têtes et menacer de la quitter... C'est ce qui se passe actuellement avec mon dernier billet qui a été repris sur le site du GDiD, et sur sa page Facebook. Je me fais donc l'ineffable plaisir de rappeler, comme je l'ai déjà pourtant fait ici mais certains ont la mémoire courte, que je ne suis inféodé à rien ni à personne, que j'ai l'esprit et la parole libres, et que je compte bien continuer à faire activement tourner le premier et fonctionner la seconde. Je suis membre du GDiD à titre personnel, mais l'association en question n'a rien à voir avec moi ni avec mes propos ni avec mes idées ni avec quoi que ce soit d'autre ici sur ce blog. Voilàààà... c'est clair maintenant? J'écris ça, moi, pour le confort des uns comme des autres, n'est-ce pas, tant il apparait qu'à notre époque il est de plus en plus difficile dans ce pays de ne pas avoir les mêmes idées stupides qu'autrui. Penser par soi-même est devenu un crime de lèse-bien-pensance. Vous me direz, c'était déjà le cas avant, avec un monde syndical enseignant particulièrement versé dans les procès d'opinion, mais aujourd'hui il me semble que nous sommes clairement tombés dans une farce assez ahurissante mais désagréable peuplée de volatiles divers à la puissance de pensée gallinacée... Cette explication était donc nécessaire.
Pas compris? Trop littéraire? Bon... disons-le autrement: GDiD et Confort Intellectuel pas pareil, non. GDiD bon, Confort Intellectuel méchant. Mais méchant réjoui.
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